Votre point de vue (16 commentaires)

  1. Alexandre Lacoste
    Jeudi 19 novembre 2009 à 01 h 56

    Bonjour Mme David,

    Bravo pour tout; votre pertinence, vos nuances, votre curiosité, votre lucidité, votre sagesse. Amir Khadir et vous, êtes ma raison de ne pas désesperer!
    Ceci étant dit, le but de mon message n’est pas de vous lancer des fleurs ;)
    Je suis étudiant en linguistique à l’UQAM et le sujet de notre prochain TP, dans le cadre du cours Français du Québec, est de faire un bilan de la la situation de la Charte de la langue française à l’heure actuelle en faisant un historique des principales modifications apportées et pourquoi, et d’expliquez les positions qui s’opposent. De plus, nous devons expliquer l’importance du jugement récent de la cour suprême concernant la loi 104 et expliquer les conséquences de ce jugement.
    J’ai commencé mes recherches, et je commence à me former une opinion sur le sujet. J’aimerais beaucoup également connaitre la votre.
    Si le temps vous manque, une référence ou deux seraient bien appréciées!
    Bonne journée

  2. christian guerin
    Dimanche 22 novembre 2009 à 14 h 16

    Concrétisons ces paroles sur la souveraineté, sur le nationalisme économique et allons vers le concret, vers l’urgence.

    Tout le monde sait les nombreux emplois perdus à la Chine(dernier 15 ans) et réagissons à l’establisment financier.Rendons le capital synonyme de nationalisme économique; grace au capital de la Caisse de Dépot(ex)devenons graduellement propriétaire de nos entreprises tout en maintenant notre situation concurentielle et ce, demain matin.

    Pour les gros morceaux(ex La Presse,200 millions et journal de Montreal,400 millions)entreprises d’information propre à Power Corporation et Quebecor), ayons une vision à long terme.La liberté et la clarté de l’information est à ce prix pour le Québec. Nous avons failli sombré dans les mondes de la pègre et de la collusion et c »est grace à l’information qu’on a dénoncé ces choses.merci à nos journalistes.

    Nous avons déjà une bonne grappe industrielle, 98% des entreprises au Québec sont Québecoises, nous avons un PIB de 265 milliards soit, mais innovons toujours, gardons libre de toutes influences le secteur économique, préparons-nous pour le changement majeur en énergie solaire par des programmes en recherche et développement massifs.

    Il y va non seulement du maintien d’un espace économique mais de l »effondrement de notre niveau de vie , et ce, pour tous les pays.

    Tous les experts s’entendent sur l’intégration d’un développement durable, vouloir passer outre mènera au Chaos.

    Donc natinalisme et recherche en développement pour le Québec et ses cytoyens.

  3. Serge Leclerc alias Sergio de Rosemont
    Dimanche 22 novembre 2009 à 15 h 12

    Bonjour Mme.David , j’ai hâte de voir les résultat finals du congrès :)

  4. Normand Beaudet
    Dimanche 22 novembre 2009 à 16 h 58

    Bonjour Madame David….

    Si Québec Solidaire ne prétend pas que l’indépendance québécoise sera une simple formalité administrative comme le prétend le Parti Québécois, je suis avec vous.

    Nous avons besoin d’un parti indépendantiste courageux, près à lutter pour son projet de société.

    J’étais au Congrès cet après-midi….

    Une petite fiction écrite il y a déjà quelques années…..

    UN RÉFÉRENDUM GAGNANT

    SCÉNARIO DE POLITIQUE FICTION.

    ***LA RÉSISTANCE CIVILE QUÉBÉCOISE***

    Octobre 2010, le parti québécois est au pouvoir depuis trois ans. Le mouvement indépendantiste de la province travaille depuis ce temps pour préparer le référendum afin de quitter la fédération canadienne.
    En cette soirée d’octobre, le résultat est annoncé, une majorité de la population de la province de Québec a opté, par un référendum, pour l’indépendance. Immédiatement, le gouvernement fédéral refuse de collaborer, questionne la légitimité du référendum, du scrutin, de la question et des référendums à répétition. Il prend immédiatement des
    mesures de présence accrue pour surveiller les lieux névralgiques de transport, d’énergie et de communication le temps que les choses se calment.

    Les indépendantistes sont en liesse, les festivités sont massives et durent plusieurs jours. La présence préventive des autorités fédérales est remarquée et mène à des débordements mineurs.
    La réaction des populations canadiennes subissant cet acte de sécession sont virulentes, on revendique ouvertement et avec insistance le recours aux forces militaires pour stopper l’acte de sécession. Si on a utilisé l’armée dans le passé pour un enlèvement, et l’agrandissement d’un terrain de golf sur un site autochtone, on insiste pour que le gouvernement bouge. Suite à des pressions économiques, politiques et d’intérêts privés le gouvernement fédéral
    décide d’occuper les sites de sa juridiction grâce à ses forces de l’ordre et à certaines troupes militaires. Ce geste du gouvernement vise à faire taire les critiques et à montrer la détermination du fédéral à agir.

    Les forces de l’ordre, en route, sont remarquées, certains média s’offusquent et ils font face aux militants souverainistes manifestant leur indignation. Ce mouvement des forces de l’ordre et d’unités militaires met le feu aux poudres. Quelques affrontements violents ont lieu et font monter la tension.

    Au cours des semaines qui suivent le vote pour l’indépendance, les négociations fédérales-provinciales piétinent, les manifestations populaires se multiplient partout dans les grands centres de la province de Québec, et la situation économique se dégrade. Le discours de certains militants souverainistes se radicalise et un certain nombre d’actes de violence, vandalisme, enlèvements et bombes sont perpétrés.

    Certaines minorités, dont des groupes autochtones, affichent ouvertement leur opposition à la sécession et cette situation mène à des confrontations à teneur raciste. Deux confrontations mènent à de malheureuses pertes de vies. Les communautés mohawk lèvent des sièges. Plusieurs voient émerger une nouvelle crise autochtone. La tension est vive dans les régions touchées.

    Le gouvernement fédéral s’impatiente, aucun compromis ne semble poindre à l’horizon. Insatisfaits, et après des tractations territoriales infructueuses, le fédéral opte pour une occupation pour contrecarrer une scission du territoire, éviter les émeutes et protéger les infrastructures sous sa juridiction qui sont de plus en plus à risque.

    Les remous politiques et populaires qu’entraîne une telle situation sont de plus en plus associés à une crise politique croissante qui peut mener à des confrontations armées. Cette situation mène à des réactions économiques et à des pressions internationales de plus en plus insistantes. Le fédéral est dans un cul de sac qui le mène droit vers:

    UNE OCCUPATION MILITAIRE

    Au Québec, le bon sens le plus élémentaire l’emporte, le gouvernement de la nouvelle Nation réalise qu’il ne peut pas utiliser la force des armes. Il réalise qu’il a créé une situation explosive qui ne laisse que peu de portes de sortie aux politiciens canadiens. Il mobilise ses propre forces de l’ordre pour protéger les intérêts fédéraux et les communautés autochtones vulnérables. Il lance un appel au calme, à l’action non-violente et condamne énergiquement tout les actes
    de violence.

    Heureusement, un plan d’action avait été élaboré. D’imposantes manifestations sont organisées et bénéficient d’un service d’ordre entraîné par les mouvements syndicaux, des alliés traditionnels. Les gens sont encouragés à nuire de toutes les façon possibles aux actions des fédéraux. Les média sont mis à contribution pour transmettre les consignes de résistance. Tous les repères pouvant permettre aux troupes d’occupation de s’orienter, de localiser et d’identifier des personnes jugées indésirables sont éliminés dans la métropole. Un gouvernement clandestin est organisé et des infrastructures de communication mobiles sont mis en opération.
    Le gouvernement en devenir engage le nouveau pays dans un vaste mouvement de résistance civile non-violente. Des marchandises destinées à l’occupant disparaissent, les appareils dont il a besoin tombent en panne, les indications lui permettant de se repérer ou de repérer des personnes disparaissent partout. Les ordres ne sont pas suivis, pire, on fait exactement le contraire. L’occupant manque de courant électrique, d’eau, de téléphone, de courrier ou de nourriture et ses ondes sont brouillées…

    Le gouvernement fédéral est désorienté, l’ennemi ne confronte pas, il est nulle part et partout en même temps.

    Certains opposants sont repérés et emprisonnés grâce à des lois exceptionnelles et des procès expéditifs. Les peines sont de plus en plus lourdes et soulèvent l’indignation. On utilise certains cas pour faire des exemples susceptibles de dissuader l’action non-violente.
    Certains sympathisants fédéralistes constatent la détermination du mouvement souverainiste et réalisent que l’indépendance de la province est une inéluctable réalité. Plus le temps passe, plus on réalise que la situation s’enlise et devient irréversible.
    La sympathie internationale au mouvement souverainiste de la province se manifeste et les abus des autorités fédérales font très rapidement le tour de la planète.

    Un combat non violent total et intense est dorénavant, véritablement engagé par la population, et le mouvement de sympathie nourri par l’indignation s’élargit, Grèves, boycotts, manifestations, processions, actions de désobéissance civile, refus de coopérer, excès ou grèves du zèle, obstructions insidieuses et systématiques, sabotage non-meurtrier et destruction de biens nécessaires à l’ennemi,
    tracts, fausses informations, faux papiers, action de persuasion et de démoralisation de l’agresseur se répandent comme une traînée de poudre…

    LA FORCE MILITAIRE EST INUTILE, L’OCCUPANT EST IMPUISSANT.
    TOUTE LA POPULATION SEMBLE PARTICIPER.
    LE PREMIER MINISTRE METTRA-T-IL UN SOLDAT DERRIERE CHAQUE CITOYEN ?…
    EMPRISONNERA-T-IL TOUS LES MILITANTS ?…
    LES FORCES SONT INCAPABLES DE REPÉRER L’ENNEMI.

    Les administrations, la police, les élus des gouvernements municipaux, provinciaux et les fonctionnaires fédéraux
    sympathiques à la nouvelle Nation, appuyés par une majorité croissante de la population s’engagent dans la résistance.
    Même au Canada, le nombre des sympathisants à la lutte non-violente s’accroît. Ces canadiens, embarrassés, qui s’opposent à l’imposition par la force de leurs propres valeurs, utilisent à pleine vapeur les sanctions non-violentes contre l’armée d’occupation.

    TOUS SEMBLENT ENGAGÉS.
    UNE INCROYABLE CONCERTATION DE CRISE S’IMPROVISE.

    Dans la mesure de leur capacité, les entreprises, administrations, syndicats, associations, partis, mairies, municipalités régionales, représentants de quartiers, paroisses, chambres de commerce et familles agissent ensemble et exigent la fin de l’occupation…

    La concertation est organisée de manière systématique.

    Le gouvernement clandestin, comme un chef d’orchestre coordonne l’opposition.

    Une puissante force naît de la détermination de tous ces groupes.
    L’agresseur, le gouvernement fédéral, se trouve plongé dans une guêpier. Sa puissance militaire ne lui est d’aucun recours, il est submergé par le nombre et la diversité des opposant et des actions. Il ne peut maîtriser le flot de ces habitants anonymes, anodins, imprévisibles, insaisissables car ils sont noyés dans la masse. Les opposants évitent soigneusement de l’attaquer de front et sabotent les multiples rouages du système en place.

    Le gouvernement clandestin maintient le mot d’ordre de l’action non-violente. Il appelle au respect des personnes mais à la nuisance à leurs action. Des listes quotidiennes d’actions à entreprendre sont diffusées.

    En désespoir de cause, le gouvernement fédéral tente par tous les moyens de repérer et de neutraliser le gouvernement clandestin. Chaque arrestation de leader fouette l’ardeur de l’opposition.

    Couvre feux, sanctions exemplaires, procès politiques, arrestations et détentions arbitraires sont les seuls outils disponibles pour imposer la volonté des dirigeants.

    Ceux qui sont tentés de collaborer avec l’ennemi sont rejetés par tous. Leurs relations de travail, leurs voisins, les administrations, le fisc, etc. rendent leur vie impossible. Leurs seules issues: ne plus collaborer ou partir. l’image des occupants se détériore rapidement.

    De toute évidence cette situation politique est un cul de sac.
    Le pouvoir collaborateur mis en place est maintenant rejeté par les masses. Les nouvelles lois qu’il met en place ne sont pas appliquées.
    L’incroyable discipline des masses fait son effet et charme le monde entier. Les gens confrontent dignement et avec courage les forces de l’ordre. La provocation à la violence se retourne contre la gendarmerie royale et les militaires.

    Plus l’occupant réagit avec violence, intimidation, terreur et sanctions exemplaires, en l’absence d’une menace armée, moins il est capable de justifier sa violence devant son peuple et le reste du monde. Plus le fédéral s’obstine et plus l’occupation coûte cher. Le temps passe et l’insatisfaction se fait sentir chez lui, son pouvoir se désagrège d’une façon de plus en plus évidente. L’obéissance de ses troupes devient incertaine et l’indignation de sa population s’amplifie.

    LA POPULATION REFUSE TOUJOURS DE SE SOUMETTRE,
    CONTRE TOUTE ATTENTE, ELLE RESTE DETERMINÉE.

    La seule avenue devient la reprise des négociations et la reconnaissance d’une forme d’indépendance.
    Les pressions fusent de toutes parts pour la mise en place d’une solution à cette coûteuse et désastreuse situation d’instabilité politique qui mine la réputation du pays et son économie.

    L’OCCUPANT DOIT SE RETIRER DE CE GUEPIER
    SUITE À PLUSIEURS MOIS DE RÉSISTANCE CIVILE NON-VIOLENTE, LES TROUPES SE RETIRENT.

    L’INDÉPENDANCE DE LA PROVINCE DE QUÉBEC EST MAINTENANT UN FAIT INDÉNIABLE.

    Les Québécois ont gagné la liberté!

    Normand Beaudet

    Site du Centre de ressources sur la non-violence et la prévention de la violence
    http://www.nonviolence.ca Propulsé par Joomla! Généré: 22 November, 2009, 14:40

  5. Serge Vallée
    Lundi 23 novembre 2009 à 20 h 48

    @Normand Beaudet

    Ma crainte des souverainistes

    Je suis fédéraliste et je m’aperçois, dans votre vison du parcours vers l’indépendance que je serais rejeté par les vôtres advenant mon refus de vous suivre et mon attachement au gouvernement fédéral. Voilà pourquoi je reste très méfiant face à des gens comme vous.

    Par ailleurs, si vous croyez vraiment que tous les québécois finiraient par se ralliés dans ce type de projet, c’est que vous êtes un vrais adepte de la pensée magique !

  6. Françoise David
    Jeudi 26 novembre 2009 à 18 h 00

    @Alexandre Lacoste :

    Tout d’abord, merci pour vos «fleurs» !

    Vous trouverez réponse à vos questions sur notre position concernant le jugement de la cour suprême invalidant la loi 104 aux deux endroits suivants :
    http://bit.ly/41Qd7r
    http://bit.ly/6dQapF

    Au plaisir.

  7. Alexandre Lacoste
    Vendredi 27 novembre 2009 à 02 h 59

    Merci beaucoup pour les liens Mme David. Certaines citations sont alléchantes!
    Ceci étant dit, avant l’adoption du projet de loi 104 en 2002 seulement 1.5% des élèves inscrits dans les écoles anglophones avaient passé par cette brèche de la loi 101.
    Maintenant, compte tenu du fait que cela ait été rendu publique, pensez-vous que la majorité immigrante va avoir recour à ce stratagème?

  8. christian guerin
    Vendredi 27 novembre 2009 à 20 h 22

    L’action politique actuelle ne touche pas les gens.

    Si Quebec Solidaire rallie 7 % des gens(Montréalais) ca signifie que 93% des gens sont contre.Le message ne passe pas. Le politique est super plate.L’argent lui passe.

    On veut une société qui offre par l’argent du plaisir; sexualité, cinéma, restaurant, auto, vetement,école,hopitaux. Somme toute tous ces domaines sont très québecois, nous avons créer un nationalisme économique qui fonctionne très bien.Mais personne ne vote la-dessus; ca fait pas partie des enjeux politiques. Les consensus écoles et santés sont le fruit des décision des années 60(révolution tranquille).On a plus rien décider depuis.

    Le politique ne touche pas notre consommation et n’intéresse donc personne.
    La réforme de la santé de Obama est semblable à notre réforme de la santé des années 60.(50 déjà)
    Le Québec doit donner l’exemple et sait donner l’exemple. En santé les USA ont pris beaucoup de retard et la faillite les guettent.
    On peut etre mieux que les USA; la sociale démocratie fait mieux.

    Le Québec peut faire mieux; à l’exemple de la Californie(émissions zéro)exigons des autos comme on les aime i.e.zéro auto du transport en commun partout, la souveraineté alimentaire pour bien faire vivre ceux qui nous nourissent(avec l’aide de la Caisse de Dépot).

    En plus de nos soins dentaires(santé) allons pour le plaisir-des repas gratuits, des voyages gratuits, des femmes(hommes)gratuites(sexe) ca sa motive un peuple.Il faut un grand pas.
    Amener le plaisir au niveau sociale contrairement au plaisir égoiste replié sur soi.Vécouvrir le plaisir de consommer des énergies renouvelables.

    Le politique n’intéresse personne malgré les enjeux de l’énergie et de la carence en pétrole(prix catastrophique). C’est le chaos qui s’installe.
    La politique ne sert plus rien;réveillons-nous

  9. rejean ethier
    Dimanche 29 novembre 2009 à 11 h 21

    Le nerf de la guerre c’est l’éducation. Les masses doivent etre éduquées politiquement. La d’ou je viens rare sont ceux quifont clairement la différence entre Provincial et Fédéral. Quant a connaitre les liens qui existent entre la Politique et leur vie c’est parfois absolument navrant. Je serai pour une éducation populaire sur le Politique et la vie civile. Comprenez moi bien. Je fais de mon mieux de mon coté pour ouvrir les esprits mais seul je n’arriverai jamais à éduquer 100 000 personne. Pourtant j’ai du talent. Mon conseil est « allez vers le peuple ». Prenez le taureau par les cornes. Je pressent une fenêtre politique favorable. C’est maintenant qu’il faut agir.

  10. rejean ethier
    Dimanche 29 novembre 2009 à 11 h 32

    Il faudrait former des groupes formés des plus capable de nos pédagogues. Les envoyés au front. Trouver un moyen pour les gens puissent bien les écouter. Sur le terrain. Nous enseignerions la base. Le systeme politique au Québec et au Canada. Comprendre le fonctionnement: comment sont voté nos loi, le suffrage etc… Ensuite quand cela est bien compris il faudra enseigner LA politique. Celle qui mene nos vie et qui fait qu’un indigent reste un indigent, un nanti reste un nanti. Dangereux dites-vous! Nous sommes en guerres. À nous de la gagner tout en restant pacifiste. En gagnant les coeurs.

  11. rejean ethier
    Dimanche 29 novembre 2009 à 12 h 43

    Des tactiques pourraient etre élaborées. Dans un idéal pacifique. Ces groupes pouraient etre clandestins. Mais toujours dans un seul but; la guerre des idées. Un éveil des masses. Exemple; des manifestations surprises, des panneaux intriguants. Toujours dans la meme idées. Eveils des masses, education des masses. Faire comprendre que le droit de votes est une arme puissante en elle-meme. Décrire le Québec tel qu’il est. Faire echec au racisme et à l’ignorance. Comprendre le politique.

  12. rejean ethier
    Dimanche 29 novembre 2009 à 12 h 45

    En passant, je refuse la commune…

  13. christian guerin
    Dimanche 29 novembre 2009 à 14 h 00

    dixit Ethier 29/11/09 ……………mais qui le sait?
    Un parralèle avec la 2 ieme guerres mondiales; au moment ou les USA ne le sont pas encore, au temps qui précède l’attaque Pearl Harbor mais l’industrie militaire américaine elle tourne au max. Cette guerre hors territoriale sera l’apogée des USA.

    Nous sommes en guerre ; la guerre du capitalisme contre la sociale démocratie, l’establishment contre la démocratie.
    Mais ou sont nos soldats? La démarche intellectuelle n’a pas encore livrer sa marchandise(échec des intellectuelles). Le monde entier se cherche et plus la pression monte plus le chaos s’installe.

    Pauline Marois ou Francoise David sont aussi en échec faute de design politique.
    Pourtant les enjeux n’ont jamais été si périlleux, le piétinement des valeurs environnenentales en combat avec le capitalisme et l’establishment financier.On est pret à brader la planète pour du capital.
    C’est dire toute la force du capital; il peut nous mener à la destruction.
    Nous sommes en guerre et les enjeux montent.

    Les intellectuels devront refaire leur travail.

    La population sait faire les choix quant ils existent;demandons aux québecois leur avis sur l’avortement, l’euthanasie,l’environnement, la guerre en Irak, la collusion et on aura une position très sage.

    La sagesse de la sociale-démocratie est là.

    Mais nous sommes en guerre; il nous faut des soldats;créons des soldats, nos soldats.

    Je propose de créer un groupe politico militaire de mille personnes ayant comme objectif de protèger les interets de la démocratie, sous la direction d’un parti politique social-démocrate voir aux manifestations, à la Greenpeace. La disponibilité physique et le dévouement de ses personnes seront acquises.

    Puisqu’on est en guerre ayons nous aussi nos soldats, notre groupe tactique afin de sauver la démocratie et la planète.
    L’enjeu n’est rein de moins que la vie sur terre et ca ce message là il passe pas à cause de l’establishment financier.

    Cette armée d’élites intellectuels assurera le support de nos différentes prorités de partis.Il comblera le manque de disponibilités des citoyens ordinaires.

    Come Che Guevara l’a dit ; un peuple est fort quand il bouge, quant ses institutions bougent afin de lui permettre de trouver son
    équilibre.

    Finalement on revient au role du FLQ, oeil pour oeil dent pour dent.

  14. rejean ethier
    Dimanche 29 novembre 2009 à 15 h 08

    Dixit Chritian Guerin

    La guerre se gagneras au suffrage. Il faut d’abord démontrer que nous sommes conscient. Il faut des stratégies nouvelles. L’espace médiatique ne nous appartient pas. Mais la rue, si! Toute nos tactiques pouraient etre utiliser par l’adversaire. Mais a la guerre comme a la guerre. Notre but est d’éveiller les consciences. Un ouvrier québecois français est aussi un ouvrier québeco-anglophone ou allophone. On vie les meme misere. Passons par-dessus ces barrieres.
    Est-ce que Québec Solidaire est le bon véhicule? Peut-etre bien que si, peut-etre bien que non.
    Une chose est sure il faut nous reunir tous autour de la meme banniere.

  15. rejean ethier
    Lundi 30 novembre 2009 à 09 h 50

    Je crois qu’avant de parler de souveraineté il faudra faire un « plannings » de l’identité. Pas seulement de ce que nous sommes mais de ce qu’on veut devenir. Le Québec est dans sa réalité autrement de ce qu’on en a idées. Si vous faites LA souveraineté vous changer le systeme. Il faut expliquer ce qu’il en est. qu’adviendra-til apres? Il faudra une constition ça c’est sur. Mais je refuse qu’une minorité politique peuvent seule décidé. Il faut que tout le monde soit d’accord. Meme les fédéraliste!! Excuser de vouloir réécrire votre programme.

  16. christian guerin
    Lundi 30 novembre 2009 à 17 h 41

    mes textes n’ont pas passé et je suis paranoiaque; aurai-je enfin dit quelque chose de signifiants…

    je répète;

    Le Québec comme terroir de la future humanité.
    Le manifeste comme supra-concience du politique

    devoir pour l’adepte du nationalisme économique; etudier Rona.ca
    et revenez-moi…bye

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