Françoise David.com - Québec Solidaire

Françoise @ 20h20 sur la santé, mission sociale, rôle de l'état

Madame Marois se trompe, il n’y a pas de assez de médecins au Québec. Il faut que les médecins étrangers ayant obtenus un diplôme au Québec aient plus de place en résidence et puisse combler les besoin de médecins de famille.

Vos commentaires et les réponses de l'équipe de QS

Sylvain Charron @ 20h22

Dumont et ses chiffres ! Il aime se faire passer pour un sauveur, mais ce n’est qu’un coupeur de services !

France Dupré @ 20h22

Quel cirque ! c’est à celui qui parlera le plus fort!
Je me demande comment ils feront pour maintenir la main-d’oeuvre en place quand on sait qu’il y a manque flagrant de professionnels. Ils n’en parlent pas du tout

Annie Lise Clément @ 20h23

Madame David, moi qui ai beaucoup de respect pour vous, j’aimerais vous voir répondre davantage à M. Charest: ce qu’il craignait et il s’en tire le mieux.

raymond dufort @ 20h23

où lit-on les réponses de QS ?

Philippe Motillon @ 20h23

Et quelle est votre position sur la reconnaissance des diplômes de médecine étrangers?
Pour ma part, il me semble qu’une grippe doit se ressembler au Québec et en Europe non ?

fahey @ 20h24

nous avons les plus belles conditions vie au monde faut changer de discour. 16 heure attente c’est rien quand c’est gratuit

Blaise Rémillard @ 20h26

Pendant que ça se chicane à la télé voici des solutions solidaires tirées de la plateforme de Québec Solidaire:

1-Consolider un système entièrement public:
a) Mettre un frein à toute forme de privatisation dans le système de santé et de services sociaux;
b) Assurer un financement adéquat du système public en augmentant les ressources humaines afin de répondre aux besoins de la
population;
c) Réduire le champ des assurances privées duplicatives en interdisant la couverture des examens diagnostiques et de toute forme
de chirurgie requise pour des raisons de santé;
d) Mettre en place une politique pharmaceutique publique comprenant les mesures suivantes :
I) un régime entièrement public et universel d’assurance-médicaments;
II) un système public d’information sur les médicaments;
III) la création de Pharma-Québec, un pôle public d’acquisition, de recherche et de production de produits
pharmaceutiques dans le but de freiner la croissance des coûts en santé, d’enrichir les capacités scientifiques du Québec
et d’innover dans le domaine du médicament ainsi que dans le domaine de la médecine naturelle par la recherche, la
distribution et la réglementation;
IV) une campagne

Anny Schneider @ 20h29

C’est vrai que c’est de pire en pire, des queues de 50 mètres à la clinique même dans le village de Waterloo, à 6 heures du mat’C'est vrai qu’il n’a rien fait d emieux le slibs ou pa s grand-chose…T’a s raison là-dessus Mario!
Néanmoins, mon amie Véro (34 ans 3 enfants) vient d e se faire transplanter des poumons avec succès…pas complètements nuls tout de même…

lucie marcoux @ 20h29

Mais c’est une vraie “joke” c’est pas croyable de voir des “leader” ayant tant de talent à tout perdre en faisant un spectacle de cirque à se lancer la balle d’un côté et de l’autre. Mais en réalité au Québec, la population veux quoi? régler ses problèmes ou participer à ce cirque…

François Cavayas @ 20h30

Quel est le nombre des ces médecins étrangers par rapport au nombre des médecins qui manquent? Est-ce qu’il faut revoir l’organisation du système de sante plutôt?

David Cournoyer @ 20h35

Bonjour Mme David et toute l’équipe de Québec Solidaire

Je suis déjà, je l’avoue, bien d’accord avec la majorité des propositions que vous avancez, mais, toutefois, l’intégration des médecins étrangers devra se faire lentement et avec un suivi rigoureux des différentes formations de ces médecins. Ils devront parfois, et même souvent, suivre des formations de mise à niveau et de connaissances générales à propos de notre système de santé public. Croyez-vous que cela est possible dans un délai raisonnable et à un coût raisonnable. Notre système en a bien besoin. Merci beaucoup.

chantal touchet @ 20h39

Bonjour Madame David,

C’est un plaisir de pouvoir vous posez des questions ou vous faire quelques réflexions.

Est-ce que toute personne étrangère ayant été un médecin reconnu dans son pays et ayant choisi le Québec pour y vivre sera reconnu comme médecin à condition qu’il retourne sur les bancs universitaire en médecine ? N’est-ce pas déjà ce qui se produit ? J’ai rencontré des chauffeurs de taxi ayant été des médecins dans leur pays d’origine mais ne sont pas reconnu dans le nôtre. Avant d’accepter de vivre ici, les représentants de nos gouvernements auraient fait miroités que ces étrangers pourraient continuer leur profession médical. Mais lorsqu’ils sont arrivés, la réalité est tout autre. Pour subvenir à leur besoin, ils doivent peinés à subvenir comme ils le peuvent. Ceci n’est pas seulement pour le corps médical, mais pour bien d’autres professions du savoir (architecte, etc.)

Par contre, je suis me sens rassurer de savoir qu’ils doivent passer par une forme de contrôle du savoir médical (au Québec ou Canada) avant de pratiquer au sein de la population.

J’espère que j’ai été assez cohérente dans ma question et vous remercie d’y répondre.

Bravo et je vous souhaite une bonne campagne électorale!

laurence barthelemy @ 20h41

Comment peut on douter qu’il manque de médecins quelle hypocrisie d,affirmer le contraire
15 ans que nous vivons dans le plus beau meilleur pays au monde et nous n’en avons toujours pas!

Céline Desjardins @ 21h19

Il y aussi un manque flagrant de volonté ou de structures adéquates pour accueillir les médecins formés à l’étranger et leur permettre de pratiquer au Québec.
Ceci est d’ailleurs vrai pour plusieurs corps de métier. Malgré la promesse de programmes de reconnaissances des acquis et de mise à niveau, de tels programmes piétinnent lamentatblement.

robert pagé @ 21h25

Le Québec est l’endroit en Amérique du nord le moins dispendieux pour étudier la médecine. Beaucoup de médecins québecois n’auraient pu faire leur médecine s’ils n’avaient été subventionnés par l’ensemble des travailleurs. C’est alléchant d’aller pratiquer au USA ou en Ontario une fois diplômés, mais ne serait-il pas logique d’instaurer des mesures pour obliger ces gens-lâ à pratiquer au Québec. ? S’ils veulent pratiquer aux USA ou Ontario, qu’ils étudient là-bas au gros prix et après ils pourront bénéficier des meilleures technologies et obtenir de gros salaires .

Émile després @ 21h41

une partie des médecins diplômés quittent le Qc pour les autres provinces ou les USA car le salaire et les conditions de travail sont plus avantageuses…pourquoi ne pas demander aux futurs médecins de rembourses une partie de leur scolarité lorsqu’ils quittent la province…?

martin @ 21h50

@Émile Desprès: Le plus grand problème des 15 dernières années a été la mise à la retraite des médecins et des infirmières par le gouvernement de Lucien Bouchard. Et maintenant, on doit s’assurer d’une première ligne de soins solide: un médecin de famille pour tous, à travers les CLSC et les groupes de médecins de famille. Les médecins diplômés qui quittent le Québec sont minoritaires, la solution se trouve plutôt dans une réorganisation du système public.

QS: eve-lyne @ 22h48

Tentative de réponse en bloc… Je ne connais pas le dossier en profondeur, mais le nombre de médecins étrangers qui entrent au Québec est plus important que ceux qui le quittent. Encore faut-il reconnaître leurs diplômes!

Bien entendu, il tous diplômes n’est pas bon à reconnaître. Pour certains pays, une mise à niveau est nécessaire. Mais ce qui est absurde, c’est que les immigrants arrivent au pays avec des promesses d’avenir radieux, et une fois sur place, on leur apprend qu’ils doivent passer des tests parfois onéreux pour que leurs diplômes soient reconnus.

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