Françoise David.com - Québec Solidaire

Françoise @ 21h58 sur ...

Voter pour l’ADQ c’est plus de privé, moins de gouvernement, moins de justice sociale, moins de possibilité d’améliorer l’éducation et la santé.

Vos commentaires et les réponses de l'équipe de QS

Blanche Roy @ 21h58

Mot de la fin pour QS?
Allez-y!

mathieu fontaine @ 21h59

charest c’est le chêne de la fable de la fontaine ! en espèrant que Mme Marois aura un peu de roseau en elle !! et de souplesse

Frédéric Moisan @ 22h00

Merci Mme David de cette cohabitation sur le Net

Daniel Lévesque @ 22h00

Voter pour le Pq c’est continuer de tourner en rond et de perdre notre temps comme nous le faisons depuis 40 ans…

Nathalie Enault @ 22h00

C’est incroyable. La première chose que Mario pense à offrir pour l’avenir de notre population c’est «plus de discipline» à l’école.

Veronique Roy @ 22h00

Matante Pauline n’est pas du tout convaincante.

Allain Henry @ 22h00

on vous lis!!

Blanche Roy @ 22h01

Merci pour cette occasion: j’avais l’impression de participer au débat. Merci à l’équipe QS et bonne fin de campagne!!

Danièle Bourassa @ 22h01

Môman….c’est finiiiiiiiii!!!

Jean Cormier @ 22h02

En résumé, voter pour l’ADQ, c’est voter pour faire reculer la société québécoise. Je voterai Québec Solidaire car je sais que ce parti veut faire du Québec un pays moderne, qui s’occupe des moins bien nantis.
Il faut voter pour Québec Solidaire pour donner au Québec le statut de modèle mondial en matière de droit humains, d’écologie et de justice sociale!

Gisèle Forget-Borderon @ 22h02

Ben, je pense que j’aimerais mieux travailler avec QS pour me construire un pays. Voilà MON mot de la fin

Guy Roy @ 22h02

Françoise montre bien qu’il n’y pas de réponses de droite à l’extrême droite. Si les libéraux voulaient se départir de l’ADQ à l’Assemblée nationale, ils s’y prennent mal. C’est finalement la gauche qui leur répond vraiment. On devra nous donner le crédit de cette déconfiture. Sinon, on jouera à l’autruche en cachant les véritables conséquences d’un vote ADQiste.

Catherine Rixhon @ 22h03

J’ai hâte de vous voir au gouvernement. Merci pour votre ténacité Madame David.

Gisèle Forget-Borderon @ 22h04

Même si je sais que QS ne gagnera pas dans Verdun, je vais voter pour vous.

silvia bellfort @ 22h04

Merci d’avoir ajouté du coeur et de l’intellignece à ce débat insipide

QS: marie @ 22h22

Merci à vous tous d’avoir participer à notre initiative et d’avoir fait le débat avec nous. Maintenant, la prochaine étape est le 8 décembre où il sera important que vous démontriez votre appui à Québec solidaire en votant pour ce parti. C’est de cette manière qu’on enverra le message clair que nous voulons faire de la politique autrement.

Ginette Moreau @ 22h31

La grande gagnante du débat des Chefs, c’est Françoise David! e suis chaque fois impressionnée de la vivacité d’esprit et de réparti de QS…s’insérer dans le débat de cette façon, c’est une idée de Génie!
L’Assemblée nationale ne sera plus assommante après le 8 décembre si vous êtes élue…madame David et monsieur Kadhir vont «réveiller» les consciences!!!

Valérianne @ 22h32

Que pensez-vous des organismes communautaires et des coopératives en santé ? C’est du privé.

Maude Lamarche @ 22h36

Selon l’ADQ, on doit aider les familles, mais on doit aussi privatisé tout. Selon M.Dumont, bien géré, un système à double vitesse ne prioriserait pas les plus riches! Quoi?
Selon M.Dumont encore, veut vendre des parts d’H-Q pour faire des profits à court terme seulement.

QS: marie @ 22h48

@Valérianne: Les coopératives de santé sont effectivement une forme de privé à but non lucratif. Avec nos engagements envers le système de santé public, les besoins en coopératives de santé devraient être grandement diminuées.

Valérianne @ 22h58

Où allez-vous prendre l’argent pour financer un bon système de santé gratuit pour tous ? Le PQ et le PLQ n’y sont jamais arrivés.

jules @ 22h58

maude : penses-tu qu’une seiul vitesse a du sens ??? le système de santé est à terre , la cause première est le manque d’argent. Donner la possibilité aux riches d’avoir de meilleurs soins privés, c’est libérer des places pour les autres et augmenter la qualité des soins !!

jules @ 22h59

le problème, c’est que le Québec a une très forte dette. L’argent ne pousse pas dans les arbres. Il faut créer la richesse pour pouvoir se payer le filet social dont QS parle

jules @ 23h00

Valérianne a tout à fait raison. Même les pays socialistes modèles d’Europe ont des tickets modérateurs et autorise le méchant privé !!!

C. Routhier @ 23h33

Le problème avec les vieux partis, c’est qu’il manque d’idées, on ne leur demande pas d’avoir un plan et quelques vieilles idées. On leur demande de consulter les citoyens, le plan doit venir des citoyens, et la responsabilité des dirigeants c’est de favoriser la solidarité. Ces vieux partis sont trop préoccupé par leur chicane partisane, qu’il n’arrive pas à faire un tout avec la société collective québécoise, autochtone et pluraliste et surtout environnementalement durable et juste.

Mouton Marron @ 0h12

Le Québec a DÉJÀ un système de santé mixte (avec quelque chose comme 30% de dépenses au privé). Si ça va mal, ce n’est pas parce que le système est entièrement public. Il ne l’est pas! Pendant que le débat a lieu, la privatisation suit son cours normal sans que nous puissions agir.

Les PPP sont un fiasco. Les infirmiers/ères d’agence coûtent plus cher et travaillent moins bien, incapables de bien s’intégrer à leur milieu.

Pour aller chercher l’argent des riches, il y a déjà l’impôt. Et puis la privatisation n’entraîne pas la multiplication des médecins, ni la multiplication des soins. Il faut former massivement le personnel de la santé et l’intégrer rapidement dans son milieu de travail pour qu’il y développe une sorte d’attachement communautaire.

Il faut aussi démocratiser les hôpitaux (les assemblées publiques, par exemple, sont généralement de véritables mises en scène et cela doit changer) et forcer les gestionnaires à être imputables devant les CITOYEN-NE-S.

Mouton Marron @ 0h22

Privatiser la santé, un service essentiel, est dangereux. Les gens peuvent décider de ne pas acheter tel ou tel autre bien de consommation, mais ne peuvent choisir de se faire soigner ou pas. Le prix du pétrole fait des bons parce que les entreprises savent que les gens ne peuvent se passer de leur produit. Imaginez si on faisait la même chose avec la santé! Les coûts exorbitants d’une consultation en clinique dentaire donnent déjà un avant-goût de ce qui pourrait arriver.

Le système mixte peut comporter autant de risques si le rapport de force privé/public est en faveur des entreprises lucratives. Ce qui risque fort d’arriver au Québec, étant donné la puissance des lobbyistes proches du milieu des affaires.

Alex Noël @ 1h00

Un vote pour l’ADQ, c’est aussi un vote pour l’intolérance sociale. Je trouve violente la mesure visant le renvoie des assistés sociaux de force sur le marché du travail. Cela m’inquiète, je trouve qu’on alimente les préjugés. Seulement 10% des gens sur l’aide sociale considérés comme apte à retourner sur le marché du travail le sont.

Alex Noël @ 1h07

En réponse à Jules et Valérianne : Québec Solidaire ira chercher de l’argent grâce à Pharma-Québec, un pôle public d’acquisition, de recherche et de production de médicaments. C’est une idée qui s’est fait ailleurs, notamment en Nouvelle-Zélande. Cela permet d’économiser un milliard par année et de réinvestir cet argent-là dans le réseau public de santé.

QS: anne-marie @ 17h31

@Valérianne : nous avons dans notre plate-forme plusieurs moyens d’augmenter les revenus du gouvernement. Entre autre, nous planifions sauver 1 milliard de $ avec Pharma-Québec et nous voulons créer un nouveau pallier d’imposition chez les particuliers qui gagnent plus de 84 000$, ce qui serait des revenus de 1,3 milliard de $.

QS: anne-marie @ 17h32

@jules : Le principal problème du système de santé, actuellement, est la pénurie de personnel. Le privé ne résoudra pas du tout ce problème. En fait, ça va l’aggraver. Pour ce qui est de la dette, celle-ci est de moins en moins importante dans l’économie depuis plus de 10 ans. Le problème est que la richesse augmente, mais que les gouvernements diminuent les impôts des plus riches et des entreprises, ce qui empêche l’état de financer adéquatement ses services.

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