Françoise David.com - Québec Solidaire

Françoise @ 21h03 sur les finances publiques et défis économiques

Les infrastructure lourdes et les méga-barrages, non. Oui, aux éoliennes, au transport en commun, à l’économie sociale… Pour M. Charest c’est “L’économie d’abord, oui” mais au dépend de l’environnement.

Vos commentaires et les réponses de l'équipe de QS

Gilles Fontaine @ 21h05

Et.. non à la réfection de Gentilly 2 et au 3 milliards qu’Hydro va y injecter…

Gisèle Forget-Borderon @ 21h06

Je ne pense pas que de réduire le nombre d’élèves par classe serait la solution

Hugo Latulippe @ 21h08

Il faut protéger la philo au Cégep, protéger l’enseignement des arts, notamment de la musique, il faut réduire le # d’enfants dans les classes, il faut revaloriser la profession de professeur pcq ce sont eux qui forgent l’avenir du Québec. Il faut aussi réfléchir au paradigme enseigné à l’école qui favorise la culture de compétitivité à outrance et qui nourrit (et inspire tout) un système néolibérale qui détruit la qualité de vie des sociétés en plus de menacer l’environnement (et donc nous!).

Nathalie Enault @ 21h08

L’amélioration de nos services publiques est primordial. Profiter de cette période économique difficile pour inover et favoriser le développement de nouvelles énergies de concert avec les communautés. Le développement de ces nouvelles énergies sont de magnifiques moyens de créer des projets en région. C’est pas mal mieux qu’un port métanier et c’est un pas vers l’avenir.

jacques gendron @ 21h09

C’est vrai qu’il faut ajouter les impacts environnementaux et les économies aussi générées dans les équations comptables. Mais comment évaluer ces données? les livres et les bases de données sont à faire.

Pierre Truchon @ 21h10

Est-il logique de dire que les projets hydro-électiques ne se feront pas… ils se feront, c’est une question de temps et de rentabilité. Votre parti, j’aurais dis notre parti, autorisera ces projets, tôt ou tard.

Vive le vent, mais faut-il connaître le différences de coût et d’efficacité. Un jour ces projets seront de toute façon rentables, et on va inévitablement chialer sur le perte des belles vues.

Sarah Gaudreau @ 21h11

Les profits ont toujours été faits sur le dos des travailleurs et de la nature. Quand allons-nous comprendre que toutes nos richesses sont au détriment de notre environnement, de la biodiversité et surtout de notre santé… Je crois que nous devons repenser notre quête de croissance économique, que nous devons cesser de consommer follement.

Marjolaine Carrier @ 21h13

Il y a tellement de travail à faire sur le transport en commun ! Ca permettrait non seulement de faire des gains environnementaux mais ça enrichirait les citoyens !

Léa De Beauvoir @ 21h17

Chaque citoyen “actif” devrait poinçonner sont 5 heures d’effort physique au Gym-serre le plus chouette près de chez lui afin de contribuer à activer les turbines énergétiques de sa municipalité (par, exemple, chauffer la serre de verdurettes) . Les heures de désherbayoga et corvées de compostage sont des équivalents reconnus.

Charles D’Amboise @ 21h20

Oui aux éoliennes? Trouvez pas qu’il y a assez de ventilateurs comme ça?

Jacky Vallée @ 21h24

On fait très peu de mention de l’effet néfaste que les projets d’hydro ont sur les peuples du nord, les premiers habitant du Québec.

Louis Pelletier @ 21h30

En tant que technicien forestier je suis perçu comme un ravageur de forêt. Juste au cas où vous l’ignorez mais une forêt mature crée plus de pollution qu’elle en élimine, c’est les jeunes forêt qui aide à combattre la pollution, alors la coupe de bois est nécessaire pour tous vos journaux, planches pour rénover vos maisons, vos bureaux,etc. Noubliez pas que la première cause de la déforestation est l’urbanisation Moi, je suis pour des développements des barrages hydro-électiriques comme le projet de développement de la rivière Romain sur la côte-nord. Ce type de projet va créer des milliers d’emplois dans différents domaines. Voilà un très bon moyen de se sortir de cette crise économique.

Dominique Ritchot @ 21h36

Le principal problème des méga-projets, qu’on parle d’éoliennes ou de barrages, c’est qu’ils ne profitent souvent pas aux communautés environnantes, en plus de détruire le paysage et d’affecter la bio-diversité. On a même vu des cas ou des élus locaux sont avantagés, sans que leurs élus en voient les bénéfices.

Ce qui me fait rigoler (et me scandalise), c’est que pendant qu’il pérore de Charest sur son projet de développer le Nord, des régions entières au Sud sont dévitalisées,

Oui aux éoliennes et autres autres énergies vertes, mais à condition que leur développement servent d’abord les régions ou elles seront implantées, que ce soit dans le cadre de coopératives, avec redevances. De plus, il fait s’assurer que l’expertise et la main d’oeuvre soient locales.

Thérèse Lavoie @ 21h52

D’accord avec Léa De Beauvoir. Des ruelles vertes-jardins communautaires et des municipalités chauffées aux kilos perdus ou au muscle retrouvé. Du transport actif et la chance, peut-être, d’apercevoir enfin ce trou dans les nuages (qui peut-bien remplacer tant qu’à moi, la lumière au bout du tunnel).

QS: eve-lyne @ 22h07

@charles d’ambroise Assez d’énergie verte? Je ne pense pas! Le problème avec les éoliennes est leur développement anarchiques qui n’est pas fait en accord avec les communautés locales. On propose, avec Éole-Québec, de nationaliser non seulement la production d’énergie éolienne, mais aussi son développement.

Dominique Ritchot @ 22h34

M. Pelletier : vous n’êtes peut-être pas responsable du ravage de nos forêts, mais avouez que les compagnies forestières sont responsables du marasme actuel. En refusant la diversification et la production à valeur ajoutée, au lieu de se contenter de couper des arbres pour produire des 2 par 4 et de la pâte à papier et en privilégiant la monoculture d’essences en rapport avec cette production, elles ont contribuer à l’appauvrissement de nos forêts, et des communautés qui en vivent.

Quand au Plan Nord de Charest, de la façon dont il en fait la promotion, on pense plus à un standpeed pour les grandes compagnies que d’un véritable plan de développement. Pour ma part, je rêve plutôt d’un grand plan de revitalisation des régions, au moyen de projets axés sur les richesses locales, tant naturelles qu’humaines. Les grands projets ont certes contribué à l’épanouissement économiques du Québec et ont créer de nombreux emplois dans le passé, mais on doit penser aussi aux régions et aux populations du Nord, qui ont aussi besoin d’un développement axé sur leur besoins et leur réalité.

Charles D’Amboise @ 0h57

@QS: eve-lyne
N’est-ce pas le même problème que Hydro?
On va répéter la même affaire, encore?
En quoi est-ce que l’éolienne pollue moins? Pourquoi verte et pas rouge?
Couper un cours d’eau en deux ou couper le ciel en deux c’est quoi la différence?

Gilbert Perrier @ 3h22

vous remarque rez qu a se moment précis du débat Charest dis que les parties d’opposition pour les infrastructure,et plus loin il leur ment en pleine face en les accusant du contraire on peut les voir réagir en même temps au mensonge a charest es cela a plusieur reprise

Christian Lévesque @ 15h26

Voici ce que je pense il faut aller vers la simplicité volontaire,la décroissance soutene,la réforme monétaire et finalement notre mode de scrutin. Je vous proposes une séries de vidéos sur l’argent dette, ils sont très intéressant mais faut quand même les prendre a la légère ( http://fr.youtube.com/watch?v=VaCoI9CFSPQ)Épisodes 1 à 7

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