Françoise David.com - Québec Solidaire

Oui au commissions scolaires, mais revoir certains de leurs mandats et alléger l’institution.

… le temps perdu sur le pointage de doigts et le cherchage de responsables, qui propose des solutions sans pendre quelqu’un en passant…?

Absolument d’accord !

Bien vrai malgré le 8 pour cent de participation aux élections

Ce qu’il faut aussi, c’est de réduire les dépenses inutiles à l’intérieur même des commissions scolaires (salaires, buffets, mobilier neuf, etc.)

pas certain de ça sur le maintien des commissions scolaires, ce ne sont pas des hauts lieux de l’expression démocratique.

et les professeurs bien former on en parle pas …

Madame David,comment croyez-vous réussir à garder un équilibre financier malgré les revirements et des marchés monétaires et des manoeuvres douteuses de la caisse de placement?

Je dirais même : alléger considérablement l’institution.

Quelles sont concrètement les missions des commissions scolaires au Québec autre que répartir équitablement les ressources disponibles.

De toute façon, il me semble que les employés des commissions scolaires accomplissent des tâchent dont la plupart devrait être faite ailleurs. Les économies de leur abolition sont donc nettement exagérés, sans conter les coûts de cette réforme elle même, plus le chômage des éventuels ex-fonctionnaires.

et les garcons qui ne sont plus traités en exception.

D’accord pour conserver les commissions scolaires parce qu’il est impensable de confier ce dossier aux élus municipaux (qui peinent déjà, pour plusieurs, à mener à bien leur dossiers actuels). Ce serait un fiasco sans nom. Mais il faut absolument alléger la structure de ces commissions, rendre leur travail moins laborieux, plus efficace. Trop de précieuses minutes se perdent. L’éducation des enfants est un enjeu capital avec lequel on ne peut pas jouer.

Abolir les commissions scolaires, ce serait un désastrueux retour en arrière! Chaque école aurait son propre programme d’enseignement et ses propres règles? Où serait l’équité dans tout ça?

Les écoles publiques ont des infrastructures qui se déteriorent faisant fuir des parents au privé. Ne pourrait-on pas faire une pierre deux coups en améliorant celles-ci, faire travailler des gens et motiver ensuite des élèves dans des milieux stimulants?

Ridicule l’idée de supprimer les commissions scolaires pour revenir à l’école de rang. Nous avons besoin d’une vision de l’école qui soit unifiée et forte, pas d’une école décentralisée. Les commissions scolaires ne représentent peut-être pas la formule idéale, mais y renoncer (sans aucune formule alternative), c’est renoncer à la seule vraie forme d’infrastructure scolaire dont nous pouvons disposer.

Quelle belle formule vous avez! Alors qu’à la télévision, on restreint le droit au débat à seulement trois partis, vous nous incluez dans le débat. Merci

Pas d’accord! La Finlande, qui possède le système d’éducation le plus progressiste dans le monde et qui est un modèle pour tous, s’est débarrassée de ses commissions scolaires depuis près de 20 ans!
Ces structures administratives très lourdes, gèrent les ressources humaines de façon … inhumaine.

Je travaille en milieu rural. J’imagine tout à fait la gestion autonome d’une école de 20 ou 30 jeunes! Le tiers de directeur va s’amuser à se trouver des spécialistes et des professeurs intéressés à travailler pour lui! Mario Dumont est bien le chef d’une seule classe sociale et d’un milieu monolithique!

Je suis en profond désaccord avec Mme. David sur ce point. Les commissions scolaires sont désuètes. Elles doivent être réformé (voir automatisée) ou carrément éliminées. Tout à fait en accord avec le point de vue de Francois L’Abbé

1. Elles assurent un déséquilibre certains entre la qualité et la disponibilité des services.

2. Elles maintiennent le cap sur une gestion décentralisé du parc enseignant.

3. Elles ne favorisent pas les déplacements des enseignants au-delà de la région contrôlée par ladite commission scolaire.

4. Ajoute une « layer » de gestion inutile qui pourrait facilement être automatisé par un système informatique.